La question du Sahara marocain est l’un des conflits les plus complexes dans la région maghrébine, touchant à la souveraineté et à l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc. Dans ce contexte, l’Algérie joue un rôle central en soutenant le Front Polisario séparatiste, que Rabat considère comme un bras terroriste cherchant à déstabiliser la région.
Récemment, le Japon a porté un coup diplomatique fort à l’Algérie et au Polisario en confirmant par la voix de son ministre délégué aux affaires étrangères, Yoichi Fukuzawa, que son pays ne reconnaît pas ce qui est appelé « République arabe sahraouie », soulignant que la présence de représentants de cette entité fictive dans la salle de réunion lors du sommet « TICAD » ne reflète aucun changement dans la position du Japon en faveur de l’intégrité territoriale du Maroc.
Le Japon réaffirme sa position : Un coup diplomatique pour l'Algérie avec la confirmation de sa neutralité et le refus de reconnaître les entités fictives pic.twitter.com/1Fq0twNtPD
— Diplomatique.ma الدبلوماسية (@diplomatique_ma) August 24, 2024
Cette position reflète la clarté du Japon dans le traitement de ce conflit, où Tokyo a confirmé que les invitations à participer au sommet « TICAD » sont exclusivement adressées aux États membres des Nations Unies, ce qui exclut toute entité non reconnue, y compris le Polisario.
Malgré les tentatives incessantes de l’Algérie d’impliquer des pays comme le Japon dans le conflit par la falsification et la manipulation des documents, la vigilance marocaine a déjoué les tentatives d’infiltration, comme cela s’est produit à Tokyo.
L’Algérie et le Polisario ont l’habitude d’utiliser des tactiques basées sur la manipulation et la falsification pour faire croire à l’opinion publique que le front séparatiste bénéficie d’un large soutien international.
Parmi ces tentatives, on peut citer l’infiltration d’Ibrahim Ghali en Espagne avec des documents algériens falsifiés, un incident qui a déclenché une crise diplomatique entre Rabat et Madrid, et qui s’est terminé par la reconnaissance par l’Espagne de la souveraineté du Maroc sur le Sahara.
Mais la question qui se pose ici est la suivante : jusqu’à quand l’Algérie continuera-t-elle sur cette voie hostile envers le Maroc ? Comment la communauté internationale peut-elle gérer ces tentatives répétées de falsification des faits ? Et quelles pourraient être les conséquences de ce conflit sur la stabilité régionale en Afrique du Nord ? Il est impératif que le Maroc continue de renforcer sa vigilance diplomatique et de défendre ses causes nationales par tous les moyens possibles, tout en continuant à dénoncer les manipulations algériennes sur la scène internationale. »
