La Compétition Électorale en Algérie : Comment le Maroc est devenu un Instrument Politique dans les Campagnes Présidentielles
La campagne électorale pour les élections présidentielles prévues en septembre en Algérie a vu le nom du Maroc revenir sur le devant de la scène, utilisé comme une arme politique par les candidats. Le candidat du Mouvement pour la société de la paix, Abdelali Hassani, a attaqué le Maroc lors d’un rassemblement électoral à Tlemcen, suivant l’exemple du président algérien actuel Abdelmadjid Tebboune, qui avait utilisé une rhétorique similaire dans ses premières interventions électorales.
Les Candidats et l’Utilisation de la Question Marocaine comme Outil Électoral
Malgré les différences entre les candidats, ils partagent tous un point commun : l’hostilité envers le Maroc. Cette attitude semble refléter une stratégie plus large du régime algérien. Les analyses suggèrent que cette hostilité pourrait servir à détourner l’attention des problèmes internes et à maintenir le statu quo du régime militaire algérien.
L’Hostilité du Maroc dans les Stratégies du Régime Algérien
Les observations historiques indiquent que le régime algérien n’a pas montré de volonté réelle d’améliorer les relations avec le Maroc. Les appels du Maroc à rétablir des relations normales, y compris ceux du roi Mohammed VI, ont été ignorés. Cette situation soulève la question de savoir si cette hostilité est une stratégie délibérée pour préserver le pouvoir en Algérie.
Le Rôle Politique du Maroc dans les Campagnes Électorales Algériennes
Les attaques répétées contre le Maroc lors des campagnes électorales reflètent un rejet des propositions de réconciliation. Alors que le Maroc continue de réussir dans le dossier du Sahara Occidental, l’Algérie semble persister dans l’utilisation de l’hostilité envers le Maroc comme un outil politique pour gagner du soutien interne.
Perspectives des Relations Maroc-Allemagne en Contexte Électoral
Les prévisions suggèrent que les relations entre les deux pays continueront de se détériorer à court terme, en raison des tensions amplifiées par la campagne électorale. La question demeure de savoir si cette situation pourrait évoluer vers une amélioration des relations dans le futur ou si la situation restera inchangée.